lundi 2 mai 2011

Réflexion, remise en cause, résolution


En ce moment, on ne peut pas dire que ce soit la grande forme chez moi. Et ce autant sur le plan psychique que physique. Il est vrai que les deux sont souvent intimement liés donc ce n'est sans doute pas très surprenant en fin de compte.
Les mauvaises nouvelles ont la fâcheuse manie de s'accumuler et même si j'ai un entraînement certain en la matière, je l'avoue, la saturation est là. J'ai très envie de voir autre chose, de penser plus positif et de ralentir mon rythme de vie qui frôle la folie.



La slow life, j'en ai déjà parler ici-même.
J'ai essayé de la mettre en application et j'y suis parvenue dans une certaine mesure, mais ce n'est encore pas assez. Je le ressens partout dans mon corps, dans ma tête. Alors, je vais passer la vitesse supérieure (euh oui, c'est un brin contradictoire, mais c'est juste une expression en fait alors que la Slow life est un mode de vie à part entière) et éliminer, simplifier, expurger...



Qu'est-ce qui va en faire les frais ?
Je dirai tout ce qui n'est pas d'ordre vital.
Il est donc plus que probable que ma vie virtuelle sur la Toile en souffre. Et le rythme des publications sur mes blogs aussi. Je n'étais pas toujours très régulière, mais là, cela risque d'être pire... Tant pis, je ne vise pas non plus des audiences de folie. Mes blogs sont juste un moyen d'écrire sur ce qui me passionne, me pose question, ou me fait réagir.




D'ailleurs le rythme des mises à jour est très important, mais le style aussi.
J'écrirai sans nul doute des billets plus courts.
Oh et puis zut, j'écrirai quand je le voudrai !!!
Ah bas la course contre la montre !!!! Ce n'est pas parce que l'on écrit tous les jours que l'on est bon !




Mon calendrier du bonheur ne sera pas forcément celui qui se trouve en illustration ici, mais disons que oui, je vais prendre plus de temps pour moi.
Il semblerait que pour donner plus aux autres, il faille tout d'abord penser à soi. Je vais mettre cela en application tout de suite et on verra bien ce que cela donne.
Moins de contraintes, moins de "il faut que je..." et qui vivra, verra, hein ?