Il faut manger pour vivre et non pas l'inverse.
C'est bon, ça, on maîtrise sauf que bientôt cela va devenir : il ne faut pas manger pour vivre (ou si peut que ce sera de la survie !).
Ok, j'exagère un tantinet, mais bon quand on sait que 15 % des préparations culinaires que l'on peut trouver un peu partout autour de nous contient des substances chimiques à des doses supérieures à celles considérées comme acceptables pour notre bonne santé, cela fiche un petit froid dans l'ambiance.
Au menu : Plomb, PCB, Arsenic, Cadmium, pesticides et autres douceurs...
C'est moins conviviale de passer à table tout d'un coup !
Je ne suis pas du genre à céder à la panique, mais j'avoue que je me pose des questions.
L'homme est-il devenu bête (
Pour faire plus de profit, est-il prêt à tout et même à empoisonner à petites doses ses congénères ?
On marche à ce point sur la tête ?
Y a encore un pilote dans l'avion ?
Comment faire pour échapper à tout cela ?
Je vous dirai qu'on ne peut pas, mais en diversifiant au maximum son alimentation, on peut en revanche diminuer la portion de notre alimentation (aliments et origines) ainsi contaminée. C'est global, mais mieux que rien.
Cependant, faudrait quand même voir à stopper tout ceci. Je suis certainement trop idéaliste, mais sans être voyante, je vous prédis qu'on fonce à pleine vitesse dans le mur et que cela va faire mal (
Parce que franchement qui est réellement emballé à l'idée de se faire un bon petit cancer, se bousiller le système endocrinien, nerveux, les reins, etc... ?
Ne vous précipitez pas, y en aura pour tout le monde !!!!
Y'a longtemps que le monde ne marche plus droit. Mais c'est dans la nature de l'homme d'être con ! J'avais lu un livre Comment la surconsommation détruit notre planète, et ça m'avait juste fait halluciné, pour du profit faut voir tout ce qu'ils détruisent... Tu te rends compte pour une petite alliance en or 2000 tonnes de déchet (mercure... qui se retrouvent dans nos assiettes) rejeté dans la nature, et tout ça pour de l'or !
RépondreSupprimerBref ! L'homme est perdu, mais ça encore ça me fait rien, ce qui me dérange c'est que la nature en paye le prix, et hélas je ne crois pas au miracle.
Biz biz.
C'est vrai que c'est assez effrayant quand on y pense. Autant de pollution pour un peu de métal doré ou pour de l'argent même pas palpable (virtuel car seuls des chiffres s'affichent sur des écrans reliés à des numéros de comptes en banques qui elles-mêmes se cassent la figure pour un oui ou pour un non).
RépondreSupprimerJe ne crois plus au miracle non plus, je suis assez désabusée...
Merci pour ta lecture et ton commentaire.
Cela au moins, cela me fait plaisir.
Bises