lundi 26 décembre 2011

Lendemain de fêtes


Vous le savez déjà si vous avez lu mon billet de la veille, chez nous, les lendemains de fêtes sont assez normaux, si j'ose dire.
Comprendre que nous ne faisons que très, très modérément la fête (2 verres de vin quand même, si, si !!!!!) et donc pas de problème pour nous lever après (encore que, pas vraiment besoin de picoler comme un trou pour avoir une migraine du tonnerre me concernant. Voir même, je me demande si parfois je ne devrais pas boire plus, quitte à savoir pourquoi j'ai mal au crâne pour une fois !!!).


D'ailleurs, je me pose toujours la question suivante lors des fêtes de fin d'année :
Pourquoi on (enfin les autres, les fêtards, les vrais, les bruyants, ceux qui m'agacent quoi) hurle lorsqu'on fait la fête et particulièrement pour le 31 décembre aux douze coups de minuit ?
Parce que là, franchement, peut-on parler de victoire ? Non, y a pas eu de match, c'est juste un instant qui nous mène vers une nouvelle année qui ne se distingue pas franchement de l'autre à part cet écart temporel.
Qu'est-ce qui change fondamentalement ? Rien. On peut certes avoir des projets, mais un chiffre sur un calendrier est-il si important que cela ?
Pourquoi donc : crier, hurler, vociférer, lancer des pétards, des fusées dans le ciel, klaxonner, mettre la musique à fond et j'en oublie sans doute tant déjà j'ai des envies de meurtre.

Souhaiter le meilleur à ceux que l'on aime, à son voisin, à ses amis peut se faire parfaitement dans le calme, avec douceur et dans le temps puisque l'on a tout le mois de janvier pour présenter ses voeux.
Se réunir et marquer le coup du changement d'année, pourquoi pas, c'est un instant comme un autre qui peut être un prétexte à la convivialité, mais est-ce nécessaire de faire du bruit plus que de raison ?

Le réveillon de Noël est passé, mais voilà qu'arrive bientôt celui de la Saint Sylvestre.
Je l'avoue, c'est celui que je redoute le plus. Les gens sortent plus et ici, c'est le ciel qui va s'embraser durant plus d'une heure au moins (l'an dernier, j'ai dénombré plus de 20 feux d'artifices sur la commune et pas des petits) et je vais profiter de la soirée dansante de la Maison Carrier (en bas de chez moi).
Mon lendemain de fête n'aura sans doute pas de relents éthyliques, mais migraineux certainement à cause du manque de sommeil que m'auront imposé les fêtards...

2 commentaires:

  1. Entièrement d'accord avec toi pour ce qui est du réveillon du 31.
    Sinon, j'espère que tu as passé un bon Noël.
    Perso, j'ai eu du mal hier mais je crois que (vu que je ne fus pas le seul), le repas n'est pas bien passé ;)

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  2. ben autrefois j'étais comme ça... maintenant je préfère le calme, une bonne bouffe bien arrosée (j'aime ça !) et au lit.
    dans ma région le nouvel an est synonyme de voitures brulées, braquages, cambriolages et sortir en ville est hors de question.. je ne supporte plus de sortir et encore moins le bruit.
    2012 sera une année comme toutes les autres.... le réveillon du nouvel an je le fuis depuis des années !! (tout seul en plus, bien comme réveillon !)

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