mardi 7 octobre 2014

Alimentation et moral vont main dans la main



Il est de plus en plus établit qu'il existe un lien très fort entre ce que l'on a dans notre assiette et notre humeur du moment.
Avec les mauvais jours justement qui se profilent, on a plutôt intérêt à faire le plein de bons aliments et recettes savoureuses, mais équilibrées pour garder le moral en toutes circonstances.

Si on ne met plus en doute le fait qu'une alimentation saine est excellente pour notre tour de taille et notre santé en générale, on sait parfois moins que cela influe fortement sur notre moral. Il y a un lien entre notre assiette et notre tête.
Oui, je suis d'accord, un bol de carottes rapées a rarement fait sauter de joie une femme ou un homme normalement constitué. De même pour une poêlée de légumes verts... Reste que les études montrent clairement que les personnes ayant une alimentation riche, trop riche en acide gras trans (pâtisseries, nourriture industrielle...) sont jusqu'à 48% plus exposées à la dépression.
C'est assez logique quand on sait que ce que l'on ingurgite agit sur la fabrication de nos neurotransmetteurs dont la sérotonine (bien-être), la dopamine (plaisir et émotion), la noradrénaline (apprentissage et sociabilité).
Bref, on est ce que l'on mange et on exprime aussi ce qui nous manque.

Moralité, avant d'avaler des boites complètes de cachets, d'antidépresseurs  et autres, regardons déjà dans nos assiettes.
Cela ne sera peut-être pas suffisant en cas de réel mal être ou dépression profonde. Là seul un médecin, voir un psychiatre peut nous aider car il ne s'agit pas non plus de faire n'importe quoi. Mais dans des cas plus légers comme une déprime saisonnière, pourquoi ne pas commencer par surveiller ce que l'on mange ? Il est prouvé qu'un régime alimentaire adapté produit des bénéfices tant physiques que psychiques pour tout le monde. De toute manière, bien manger ne peut pas nous faire de mal !

2 commentaires:

  1. Conséquences psychologiques:

    Anxiété
    Impulsivité
    Repli sur soi
    Perturbation du sommeil
    Pensées obsessionnelles
    Changements émotionnels
    Problèmes de concentration
    Préoccupations alimentaires
    Humeur dépressive, irritabilité
    Capacités intellectuelles détériorées
    voilà un résumé d'un article que j'ai parcouru, tous ces symptômes c'est moi à 90%...
    je sais pas d'où ça vient, ni pourquoi. j'ai toujours adoré manger, en quantité, et je me refuse à toute alimebtation saine et équilibrée. des psy ? vu. docteurs ? fait. cliniques psy ? fait. clinique diététique ? fait (en décembre) ça marche 1 mois ou 2 et je repars dans les graisses, sucres et calories à outrance... je ne vis QUE pour manger et je n'ai pas acheté de fruits de tout l'été.. 1kg de tomates me fait 3 semaines , le concombre pourrit dans mon frigo... pourquoi ? chez moi c'est du doudou, de l'auto-destruction, c'est crever, disparaitre de ce monde dans lequel j'ai pas ma place et autres raisons que je n'explique pas, et ces problèmes alimentaires ne datent pas d'hier !! et j'avais du boulot autrefois ! alors quoi ? la solitude ? mal être ? je ne plais pas aux femmes donc célibat et ceinture ? je ne m'aime pas donc je me punis d'être moche et raté ? je le saurais jamais vraiment, mais qu'on ne me dise plus jamais TAKATAKATATA ! (traduire taka manger moins , taka faire du sport, taka arrêter de picoler, taka être positif , takatakataka ça m'est insupportable ! ça ne marche pas !!! donc on a chacun ses problèmes ses raisons... et je fais partie de ceux pour qui il n'existe plus aucune solutions. j'en crèverais et c'est le seul but que j'ai.

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    1. Le takataka, c'est bien quand les troubles ne sont pas trop profonds. Ensuite, c'est insuffisant voir contre productif.

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